Le soleil court dans les rues de la ville, brille
L'amour sous les jupes des filles,
Mais je m'en fous, mes volets restent clos,
Que l'ampoule au-dessus du lavabo.
Depuis longtemps les yeux retournés
Vers le dedans de moi prisonnier,
Dans une nuit plus loin que la peine
Et l'oubli dans la soif de mes veines.
Rien qu'une vie.
Rien à branler de mes mains tremblantes,
L'odeur de crevé de ma queue pendante.
s**e mort et l'âme dessapée,
Morne corps : Plus qu'à laisser p*****.
Plus de désir, de rêve, plus rien, que la p***** d'envie
De cette p***** qui sourit,
Se glissant dans mes bras,
Et vient jouir en un blanc de trépas.
Rien qu'une vie.
Plus rien ne me touche, plus rien,plus d'autre,
Plus de main, de bouche, ni demain qui m'emportent.
Je me casse au plus profond d'ici,
Dans la glace du temps endormi.
Ne pas mourir de ne vouloir plus vivre,
Et en finir de Vouloir trop vivre.
Je me perds sans plus savoir pourquoi,
A quoi sert de savoir rester là.
Rien qu'une vie.
-------------- By Brigada -->
L'amour sous les jupes des filles,
Mais je m'en fous, mes volets restent clos,
Que l'ampoule au-dessus du lavabo.
Depuis longtemps les yeux retournés
Vers le dedans de moi prisonnier,
Dans une nuit plus loin que la peine
Et l'oubli dans la soif de mes veines.
Rien qu'une vie.
Rien à branler de mes mains tremblantes,
L'odeur de crevé de ma queue pendante.
s**e mort et l'âme dessapée,
Morne corps : Plus qu'à laisser p*****.
Plus de désir, de rêve, plus rien, que la p***** d'envie
De cette p***** qui sourit,
Se glissant dans mes bras,
Et vient jouir en un blanc de trépas.
Rien qu'une vie.
Plus rien ne me touche, plus rien,plus d'autre,
Plus de main, de bouche, ni demain qui m'emportent.
Je me casse au plus profond d'ici,
Dans la glace du temps endormi.
Ne pas mourir de ne vouloir plus vivre,
Et en finir de Vouloir trop vivre.
Je me perds sans plus savoir pourquoi,
A quoi sert de savoir rester là.
Rien qu'une vie.
-------------- By Brigada -->