[Couplet]
J'image malgré moi peu importe comment je m'appelle
Si tout se passe là je ne suis pas vraiment réel
Rien de paranormal nan tout est naturel
Tout est naturel tout est naturel
J'entame le rituel encens thé bougie
Aussitôt ma plume rougit j'crois même que la lune réagit
J'ai plus l'temps vu que j'entends chuchoter
Mais comme ma tête tourne j'sais plus quel côté écouter
La dualité le thème est récurrent
En l'occurrence je ne suis que mon unique concurrent
Le combat est écœurant car j'suis loin de m'connaître par cœur
Je ne sais pas écrire l'amour moi surement par peur
Mais il est temps d'inverser la vapeur
Courrez prévenir le roi et ses rappeurs
Que le forgeron est descendu de sa tour de pierre
Après avoir entendu les roulements des tambours de guerre
Troubadour vulgaire un peu bourrin
J'suis pas à la bourre nan j'suis lent car j'suis tous terrains
J'viens des souterrains froids sombres humides
J'ai trouvé ma plume dans un bastion putride
Morbide sordide je joue du pied d'b****e
Sur des sons de Mobb deep j'me vois déjà à l'affiche
Même si à l'époque la dèche évoque le Bangladesh
La fierté me bloque et jamais je ne vends la mèche
Seul j'me torche le derche
Je cherche une brèche et j'garde la pèche sa mère
Mais dans mon verger y'a que des oranges amères
En d'autres termes connard rien que je mange d'la merde
Mais bon on se plaint pas
Sauf que de là à s'y complaire il n'y a qu'un pas
Que t'as vite fais de franchir quand t'as plus l'temps de réfléchir
Quitte à entendre tu crains ou tu déchires
Putain sera l'un de mes gimmicks
Pour parler d'mes sentiments et de leurs mécaniques
Suis-je machiavélique si dialectique -
Ment j'suis devenu vilain vil et diabolique
Oui j'crie trop parce que j'brûle à vif
Et qu'écrire à la nitro n'a rien de curatif
Même pour un pur natif des abysses
C'est ni le désir ni le plaisir qui pousse vers Ibliss
Vite je glisse "errare humanum est"
Mais au-delà des apparences la bêtise et la paresse
Ont condamné l'homme à l'errance, f*** les incohérences
Le pouvoir c'est qu'une question de magnétisme et d'attirance
C'est c'que m'a dit Anubis une nuit près d'un précipice
Il m'expliquait sans arrogance l'apologie de l'artifice
Et seigneur quelle éloquence, Loki en serait jaloux
Car le fait est que j'ai fini dans le maquis à genoux
Conséquence j'éprouve moins de sympathie
Pour les mc's que pour les rats
Alors s'il vous plait dans la mesure du possible
Me parlez plus de peura
Car j'en veux au game aux artistes et même au public
Tout l'monde s'est fait ken et p***** que c'était ludique
Jouez pas les pudiques on l'a eu dans le uque
En même temps c'est logique à trop remuer la nuque
On voit rien venir mais c'est là que le mât blesse
Croyez pas qu'je vous agresse j'm'en tiens qu'à ma promesse
De rendre à la poésie toutes ses lettres de noblesse
Tout en rassasiant ma plume et son appét** d'ogresse
Donc si j'crache dans la soupe c'est pas pour la beauté du geste
C'est qu'j'l'ai trouvée fade froide et indigeste
Donc soit je bouffe les restes soit je casse la croûte terrestre
Avant de reprendre ma route vers la voûte céleste...
J'image malgré moi peu importe comment je m'appelle
Si tout se passe là je ne suis pas vraiment réel
Rien de paranormal nan tout est naturel
Tout est naturel tout est naturel
J'entame le rituel encens thé bougie
Aussitôt ma plume rougit j'crois même que la lune réagit
J'ai plus l'temps vu que j'entends chuchoter
Mais comme ma tête tourne j'sais plus quel côté écouter
La dualité le thème est récurrent
En l'occurrence je ne suis que mon unique concurrent
Le combat est écœurant car j'suis loin de m'connaître par cœur
Je ne sais pas écrire l'amour moi surement par peur
Mais il est temps d'inverser la vapeur
Courrez prévenir le roi et ses rappeurs
Que le forgeron est descendu de sa tour de pierre
Après avoir entendu les roulements des tambours de guerre
Troubadour vulgaire un peu bourrin
J'suis pas à la bourre nan j'suis lent car j'suis tous terrains
J'viens des souterrains froids sombres humides
J'ai trouvé ma plume dans un bastion putride
Morbide sordide je joue du pied d'b****e
Sur des sons de Mobb deep j'me vois déjà à l'affiche
Même si à l'époque la dèche évoque le Bangladesh
La fierté me bloque et jamais je ne vends la mèche
Seul j'me torche le derche
Je cherche une brèche et j'garde la pèche sa mère
Mais dans mon verger y'a que des oranges amères
En d'autres termes connard rien que je mange d'la merde
Mais bon on se plaint pas
Sauf que de là à s'y complaire il n'y a qu'un pas
Que t'as vite fais de franchir quand t'as plus l'temps de réfléchir
Quitte à entendre tu crains ou tu déchires
Putain sera l'un de mes gimmicks
Pour parler d'mes sentiments et de leurs mécaniques
Suis-je machiavélique si dialectique -
Ment j'suis devenu vilain vil et diabolique
Oui j'crie trop parce que j'brûle à vif
Et qu'écrire à la nitro n'a rien de curatif
Même pour un pur natif des abysses
C'est ni le désir ni le plaisir qui pousse vers Ibliss
Vite je glisse "errare humanum est"
Mais au-delà des apparences la bêtise et la paresse
Ont condamné l'homme à l'errance, f*** les incohérences
Le pouvoir c'est qu'une question de magnétisme et d'attirance
C'est c'que m'a dit Anubis une nuit près d'un précipice
Il m'expliquait sans arrogance l'apologie de l'artifice
Et seigneur quelle éloquence, Loki en serait jaloux
Car le fait est que j'ai fini dans le maquis à genoux
Conséquence j'éprouve moins de sympathie
Pour les mc's que pour les rats
Alors s'il vous plait dans la mesure du possible
Me parlez plus de peura
Car j'en veux au game aux artistes et même au public
Tout l'monde s'est fait ken et p***** que c'était ludique
Jouez pas les pudiques on l'a eu dans le uque
En même temps c'est logique à trop remuer la nuque
On voit rien venir mais c'est là que le mât blesse
Croyez pas qu'je vous agresse j'm'en tiens qu'à ma promesse
De rendre à la poésie toutes ses lettres de noblesse
Tout en rassasiant ma plume et son appét** d'ogresse
Donc si j'crache dans la soupe c'est pas pour la beauté du geste
C'est qu'j'l'ai trouvée fade froide et indigeste
Donc soit je bouffe les restes soit je casse la croûte terrestre
Avant de reprendre ma route vers la voûte céleste...