(Version Zénith 93)
Quelquefois je sens les mystères
De toutes les choses que je comprends mal
Comme si j'étais toute seule sur Terre
A rechercher un idéal.
Quand l'amour le plus fou de la terre
Se débat dans une odeur de fin
Je dis qu'c'est ça la vraie misère
Je dis qu'le temps est a**assin.
Et j'veux plus rien...
J'veux plus rien...
J'veux plus d'amour, même rebelle.
J'veux plus d'amour, même si j'étais celle
Qui regardait, tendre et cruelle
Faner les amoureux quand j'étais belle.
J'veux plus d'amour, monsieur,
J'ai brûlé mes maîtres
Et amoureuse, j'ai peur de l'être
Pour avoir vu, sombre et cruelle
Faner ces merveilleux faiseurs de rêves
Et mourir mes tendresses déçues.
Quand je vois toutes les colères
Que l'on encaisse et que l'on subit
Pour moi l'amour, c'est comme l'enfer :
Je dis qu'sa force est dans sa lie.
Et j'aurai beau tout faire et refaire,
Je serai seule et sans lendemains
Pour moi c'est ça la vraie misère
Je dis qu'le temps est a**assin.
Et j'veux plus rien...
Non,j'veux plus rien ...
J'veux plus d'amour, même fidèle.
J'veux plus d'amour, même si j'étais celle
Qui regardait, tendre et cruelle
Faner les amoureux quand j'étais belle.
J'veux plus d'amour, monsieur,
J'ai brûlé mes maîtres
Et amoureuse, j'ai peur de l'être
Pour avoir vu, sombre et cruelle
Faner ces merveilleux faiseurs de rêves
Et mourir mes tendresses déçues.
Et pourtant, comme toujours, j'me dis : Allez, allez !
Je suis bien trop forte pour en avoir a**ez.
Et encore et toujours je veux vouloir aimer,
Je veux vouloir aimer.
Quand l'amour le plus fou de la terre
Se débat dans une odeur de fin
Je dis qu'c'est ça la vraie misère
Je dis que le temps est a**assin.
Et j'veux plus rien...
Oh, j'veux plus rien du tout...
Oh, j'veux plus d'amour, même fidèle.
J'veux plus d'amour, même si j'étais celle
Qui regardait, tendre et cruelle
Faner les amoureux quand j'étais belle.
J'veux plus d'amour, monsieur,
J'ai brûlé mes maîtres
Et amoureuse, j'ai peur de l'être
Pour avoir vu, sombre et cruelle
Fâner ces merveilleux faiseurs de rêves
Et mourir mes tendresses déçues...
Et mourir mes tendresses déçues.
Quelquefois je sens les mystères
De toutes les choses que je comprends mal
Comme si j'étais toute seule sur Terre
A rechercher un idéal.
Quand l'amour le plus fou de la terre
Se débat dans une odeur de fin
Je dis qu'c'est ça la vraie misère
Je dis qu'le temps est a**assin.
Et j'veux plus rien...
J'veux plus rien...
J'veux plus d'amour, même rebelle.
J'veux plus d'amour, même si j'étais celle
Qui regardait, tendre et cruelle
Faner les amoureux quand j'étais belle.
J'veux plus d'amour, monsieur,
J'ai brûlé mes maîtres
Et amoureuse, j'ai peur de l'être
Pour avoir vu, sombre et cruelle
Faner ces merveilleux faiseurs de rêves
Et mourir mes tendresses déçues.
Quand je vois toutes les colères
Que l'on encaisse et que l'on subit
Pour moi l'amour, c'est comme l'enfer :
Je dis qu'sa force est dans sa lie.
Et j'aurai beau tout faire et refaire,
Je serai seule et sans lendemains
Pour moi c'est ça la vraie misère
Je dis qu'le temps est a**assin.
Et j'veux plus rien...
Non,j'veux plus rien ...
J'veux plus d'amour, même fidèle.
J'veux plus d'amour, même si j'étais celle
Qui regardait, tendre et cruelle
Faner les amoureux quand j'étais belle.
J'veux plus d'amour, monsieur,
J'ai brûlé mes maîtres
Et amoureuse, j'ai peur de l'être
Pour avoir vu, sombre et cruelle
Faner ces merveilleux faiseurs de rêves
Et mourir mes tendresses déçues.
Et pourtant, comme toujours, j'me dis : Allez, allez !
Je suis bien trop forte pour en avoir a**ez.
Et encore et toujours je veux vouloir aimer,
Je veux vouloir aimer.
Quand l'amour le plus fou de la terre
Se débat dans une odeur de fin
Je dis qu'c'est ça la vraie misère
Je dis que le temps est a**assin.
Et j'veux plus rien...
Oh, j'veux plus rien du tout...
Oh, j'veux plus d'amour, même fidèle.
J'veux plus d'amour, même si j'étais celle
Qui regardait, tendre et cruelle
Faner les amoureux quand j'étais belle.
J'veux plus d'amour, monsieur,
J'ai brûlé mes maîtres
Et amoureuse, j'ai peur de l'être
Pour avoir vu, sombre et cruelle
Fâner ces merveilleux faiseurs de rêves
Et mourir mes tendresses déçues...
Et mourir mes tendresses déçues.