J'entends la mer aux creux d'un coquillage
Quand les mouettes ricanent au bout du quai
Un cerf-volant qui claque sur la plage
Les sirènes à l'heure de s'embarquer
J'entends les cris dans la cour de l'école
Les oiseaux qyu réclament la béquée
Sur un banc, deux amoureux qui rigolent
Un maçon qui siffle < La Mer calmée >
Toc toc toc ouvre toi
Dit la puçe à l'oreille
J'ai pour toi des chansons
Dresse ton pavillon.
Ecarquille tes feuilles
Où dorment des abeilles
J'ai des sons, des frissons
Pour ton colimaçon
Une moto, là-bas qui pétarade
Le fracas des machines et des chantiers
Et la foule qui hurle dans le stade
Les fanfares du 14 juillet
Ecoutez le petit chat qui ronronne
La fontaine qui coule un soir d'été
Et ce petit air si doux que frodonne
La nuit qui descend pour tout éffacer.
Toc toc toc ouvre toi
Dit la puçe à l'oreille
J'ai pour toi des chansons
Dresse ton pavillon.
Ecarquille tes feuilles
Où dorment des abeilles
J'ai des sons, des frissons
Pour ton colimaçon
Quand les mouettes ricanent au bout du quai
Un cerf-volant qui claque sur la plage
Les sirènes à l'heure de s'embarquer
J'entends les cris dans la cour de l'école
Les oiseaux qyu réclament la béquée
Sur un banc, deux amoureux qui rigolent
Un maçon qui siffle < La Mer calmée >
Toc toc toc ouvre toi
Dit la puçe à l'oreille
J'ai pour toi des chansons
Dresse ton pavillon.
Ecarquille tes feuilles
Où dorment des abeilles
J'ai des sons, des frissons
Pour ton colimaçon
Une moto, là-bas qui pétarade
Le fracas des machines et des chantiers
Et la foule qui hurle dans le stade
Les fanfares du 14 juillet
Ecoutez le petit chat qui ronronne
La fontaine qui coule un soir d'été
Et ce petit air si doux que frodonne
La nuit qui descend pour tout éffacer.
Toc toc toc ouvre toi
Dit la puçe à l'oreille
J'ai pour toi des chansons
Dresse ton pavillon.
Ecarquille tes feuilles
Où dorment des abeilles
J'ai des sons, des frissons
Pour ton colimaçon