James Delleck:
Bienvenue dans la confrerie des pierres-feuilles-ciseaux.
Au micro, j'ai autant d'défauts que d'cheveux sous chimio.
Zéro d'conduite en 4ans, mais j'ai pas grandi.
Dans les boums, c'est la classe, les gens disent, c'est qui ?
Delleck en rebellion capillaire, musclé comme un sticker.
Speaker au mic, comme Bibus bouffeur de Whooper.
Tous me trouve chelou comme un amish*.
Depuis qu'j'ai taggué un 7 avec du sang d'caniche.
Fuzati:
Pas besoin d'interros, je m'interroge dèjà.
Si les filles ont des trous, est-ce que c'est parce que j'ai des doigts.
J'n'ai rien à leur dire, à part quand je répond présent.
Traine les pieds pour etre dernier à devoir rentrer dans le rang.
Toi, révises bien ta géo, et tu nous situeras peut-être.
On est venu t'apprendre l'histoire, ou à la fin tu te fais mettre.
Klub des 7, trés bon enfant, concut par un eugéniste,
Rêve de faire sauter le monde avec une boite du petit chimiste.
Gerard Baste:
Oyé, c'ets le Klub, yo ! (Klub yo ! )
Yes, yo ! Laisse, yo ! Le mic', avant qu'on ne te blesse yo !
Parce qu'on a l'son, qui t'envoie à l'infirmerie.
Kangol, doudoune, (?) (Touch ?), jean Burberry !
Pas moyen d'te planquer !
Mate le cahier d'textes, c'ets l'jour de la raclée.
On n'a pas l'temps d'blaguer, on bouffe les Carambars tels quels avec le papier.
Nous on s'en fou du directeur, on supporte pas les rapporteurs.
Fayots, les sales caffeteurs, passent un sale quart d'heure.
Parce qu'on passe direct, à la fin, du Pouilleux massacreur.
Brulure, indienne, tirage de ch'veux !
Béquilles, coups d'pieds, doigts dans les z'yeux.
On vient on tue, on part en cavale.
On a peur de rien, on a des vélos et une cabane.
Cyanure:
Je veux voir tous vos cahiers rangés dans vos cases.
Juste une feuille de brouillon blanche,pas de bavardages, cahier de correspondance au coin de la table.
Interro surprise, comme pendant la guerre.
C'est votre ultime chance de rattraper vos zéros d'avant, vos erreurs de naguère, les derniers rangs passez devant.
Je vais vous surveillez, même si pour cela je n'suis pas surpayé.
Mais quand vous serez grand, vous me le rendrez en m'insultant, bande d'insolents, futurs redoublants, la fin de votre année est proche.
(Mais qu'est ce qu'on a fait ?)
Rien, et c'est justement ce que je vous reproche.
Le Jouage:
De ma paire d'escarpins, ma paire de shoes.
J'a**ure un max, l'envie d'me démarquer des autres, de n'pas faire renaitre dare-dare.
Souvent en c**otte courte, ce gout p***oncé pour les 400 coups fait en sorte que (?) délivre ces secrets lors de coup les plus périlleux.
Est ce de la chance ? Non, mais plutot d'la nonchalance.
C'qui fait la différence, finalement, ça a peu d'importance.
Du moment que j'y délivre mes cours de langues, j'en viens même à louer mes services en l'échange de quelques friandises.
Bienvenue dans la confrerie des pierres-feuilles-ciseaux.
Au micro, j'ai autant d'défauts que d'cheveux sous chimio.
Zéro d'conduite en 4ans, mais j'ai pas grandi.
Dans les boums, c'est la classe, les gens disent, c'est qui ?
Delleck en rebellion capillaire, musclé comme un sticker.
Speaker au mic, comme Bibus bouffeur de Whooper.
Tous me trouve chelou comme un amish*.
Depuis qu'j'ai taggué un 7 avec du sang d'caniche.
Fuzati:
Pas besoin d'interros, je m'interroge dèjà.
Si les filles ont des trous, est-ce que c'est parce que j'ai des doigts.
J'n'ai rien à leur dire, à part quand je répond présent.
Traine les pieds pour etre dernier à devoir rentrer dans le rang.
Toi, révises bien ta géo, et tu nous situeras peut-être.
On est venu t'apprendre l'histoire, ou à la fin tu te fais mettre.
Klub des 7, trés bon enfant, concut par un eugéniste,
Rêve de faire sauter le monde avec une boite du petit chimiste.
Gerard Baste:
Oyé, c'ets le Klub, yo ! (Klub yo ! )
Yes, yo ! Laisse, yo ! Le mic', avant qu'on ne te blesse yo !
Parce qu'on a l'son, qui t'envoie à l'infirmerie.
Kangol, doudoune, (?) (Touch ?), jean Burberry !
Pas moyen d'te planquer !
Mate le cahier d'textes, c'ets l'jour de la raclée.
On n'a pas l'temps d'blaguer, on bouffe les Carambars tels quels avec le papier.
Nous on s'en fou du directeur, on supporte pas les rapporteurs.
Fayots, les sales caffeteurs, passent un sale quart d'heure.
Parce qu'on passe direct, à la fin, du Pouilleux massacreur.
Brulure, indienne, tirage de ch'veux !
Béquilles, coups d'pieds, doigts dans les z'yeux.
On vient on tue, on part en cavale.
On a peur de rien, on a des vélos et une cabane.
Cyanure:
Je veux voir tous vos cahiers rangés dans vos cases.
Juste une feuille de brouillon blanche,pas de bavardages, cahier de correspondance au coin de la table.
Interro surprise, comme pendant la guerre.
C'est votre ultime chance de rattraper vos zéros d'avant, vos erreurs de naguère, les derniers rangs passez devant.
Je vais vous surveillez, même si pour cela je n'suis pas surpayé.
Mais quand vous serez grand, vous me le rendrez en m'insultant, bande d'insolents, futurs redoublants, la fin de votre année est proche.
(Mais qu'est ce qu'on a fait ?)
Rien, et c'est justement ce que je vous reproche.
Le Jouage:
De ma paire d'escarpins, ma paire de shoes.
J'a**ure un max, l'envie d'me démarquer des autres, de n'pas faire renaitre dare-dare.
Souvent en c**otte courte, ce gout p***oncé pour les 400 coups fait en sorte que (?) délivre ces secrets lors de coup les plus périlleux.
Est ce de la chance ? Non, mais plutot d'la nonchalance.
C'qui fait la différence, finalement, ça a peu d'importance.
Du moment que j'y délivre mes cours de langues, j'en viens même à louer mes services en l'échange de quelques friandises.