Je danse peut-être sur du vide, je joue peut-être avec le feu, peut-être que je devrai vivre du bout des yeux. Ne pas trop éclater de rire, ne jamais avoir de chagrin, n'être rien d'autre qu'un sourire, n'être rien d'autre qu'un pantin.
Peut-être que la mort existe, qu'elle me fusille du regard mais elle viendra toujours trop vite alors qu'elle aille se faire voir !
Je ne lirai jamais le livre où l'on apprend à être heureux alors autant mettre de l'huile sur le feu. Autant croquer toutes les pommes, semer tous mes grains de folie, prendre le présent par les cornes, j'ai le droit de claquer ma vie !
Alors que la fête commence, qu'on ne mette plus d'eau dans mon vin. Ce n'est pas tous les soirs Byzance, ce n'est pas tous les jours demain.
Je veux que les lilas repoussent là où mes amours sont passées, que la solitude se couche à mes pieds. Je veux dormir dans des palaces, je veux me rouler dans la boue, n'appartenir qu'à une race celle des gens de n'importe où.
Peut-être que je suis folle et que je dis n'importe quoi, que je me saoule de paroles mais je m'en fous ce soir je bois !
Je veux aimer de tout mon être, je veux crier de tout mon corps. Je suis autant femme que bête et alors ?
Moi aussi je sais dire « je t'aime », je l'ai dit des milliers de fois mais si je veux devenir c***nne cela ne regarde que moi !
Je ne suis pas comme tout le monde, je n'ai rien à voir avec toi, toi qui dis que notre terre est ronde, toi qui sais toujours où tu vas.
Moi je ne sais pas ce que je cherche, je ne sais même pas où est le nord. Je sais seulement que l'herbe est verte et encore...
Je sais que la nuit sera blanche et que je pleure et que je ris et qu'il y a de fortes chances pour que ça dure toute ma vie.
Peut-être que mon existence n'est qu'un clin d'œil au désespoir mais je m'en fous ce soir je chante alors au diable les miroirs !
Peut-être que la mort existe, qu'elle me fusille du regard mais elle viendra toujours trop vite alors qu'elle aille se faire voir !
Je ne lirai jamais le livre où l'on apprend à être heureux alors autant mettre de l'huile sur le feu. Autant croquer toutes les pommes, semer tous mes grains de folie, prendre le présent par les cornes, j'ai le droit de claquer ma vie !
Alors que la fête commence, qu'on ne mette plus d'eau dans mon vin. Ce n'est pas tous les soirs Byzance, ce n'est pas tous les jours demain.
Je veux que les lilas repoussent là où mes amours sont passées, que la solitude se couche à mes pieds. Je veux dormir dans des palaces, je veux me rouler dans la boue, n'appartenir qu'à une race celle des gens de n'importe où.
Peut-être que je suis folle et que je dis n'importe quoi, que je me saoule de paroles mais je m'en fous ce soir je bois !
Je veux aimer de tout mon être, je veux crier de tout mon corps. Je suis autant femme que bête et alors ?
Moi aussi je sais dire « je t'aime », je l'ai dit des milliers de fois mais si je veux devenir c***nne cela ne regarde que moi !
Je ne suis pas comme tout le monde, je n'ai rien à voir avec toi, toi qui dis que notre terre est ronde, toi qui sais toujours où tu vas.
Moi je ne sais pas ce que je cherche, je ne sais même pas où est le nord. Je sais seulement que l'herbe est verte et encore...
Je sais que la nuit sera blanche et que je pleure et que je ris et qu'il y a de fortes chances pour que ça dure toute ma vie.
Peut-être que mon existence n'est qu'un clin d'œil au désespoir mais je m'en fous ce soir je chante alors au diable les miroirs !