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Medley Corps Lyrics

Y'A QU'UN CHEVEU

Y a qu'un ch'veux sur la tête à Mathieu
Il n'y a qu'une dent, il n'y a qu'une dent
Y a qu'un ch'veux sur la tête à Mathieu
Y a qu'une dent dans la mâchoire à Jean
Y a que deux, y a que deux testaments
Y'en a pas trois, y'en a pas vingt
Y a que deux, y a que deux testaments
Y'en aura un de plus quand j'aurais fait le mien

Il y a trois, mais la guerre de Troyes
Mais la guerre de Troyes je crois n'aura pas lieu
Il y a trois, mais la guerre de Troyes
Je crois n'aura pas lieu vu que nous sommes que deux

Y a qu'un ch'veux sur la tête à Mathieu
Il n'y a qu'une dent, il n'y a qu'une dent
Y a qu'un ch'veux sur la tête à Mathieu
Y a qu'une dent dans la mâchoire à Jean

ELLE A LES YEUX REVOLVERS

Un peu spéciale, elle est célibataire
Le visage pâle, les cheveux en arrière
Et j'aime ça
Elle se dessine sous des jupes fendues
Et je devine des histoires défendues
C'est comme ça
Tell'ment si belle quand elle sort
Tell'ment si belle, je l'aime tell'ment si fort

Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, m'a touché, c'est f***u
Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tue
Elle a tiré la première, elle m'a touché, c'est f***u
(x2)

UNE NUIT SUR SON EPAULE

Je l'ai regardé sourire
Il m'a parlé de sa vie
Maintenant je peux m'endormir
Une nuit sur son épaule

Je le veux calme et tranquille
Je le veux tout simplement
Je voudrais qu'il s'abandonne
Une nuit sur mon épaule
Une nuit sur mon épaule

AVEC MON COEUR DE ROCKEUR

Avec mon cœur de rocker
J'ai jamais su dire je t'aime
Oui, mais maman, j't'aimais quand même
Comme personne t'as jamais aimée
Avec mon cœur de rocker
J'ai jamais su dire je t'aime
Oui mais Baby j't'aimais quand même
Comme personne t'a jamais aimée
Avec mon coeur de rockeur

LE ZIZI

Tout tout tout
Vous saurez tout sur le zizi
Le vrai, le faux
Le laid, le beau
Le dur, le mou
Qui a un grand cou
Le gros touffu
Le p't** joufflu
Le grand ridé
Le mont pelé
Tout tout tout tout
Je vous dirai tout sur le zizi
Tout tout tout
Vous saurez tout sur le zizi

Tout tout tout
Vous saurez tout sur le zizi

Tout tout tout
Vous saurez tout sur le zizi

NOS MAINS

Sur une arme les doigts noués
Pour agresser, serrer les poings
Mais nos paumes sont pour aimer
Y'a pas de caresse en fermant les mains

Longues, jointes en une prière
Bien ouvertes pour acclamer
Dans un poing les choses à soustraire
On ne peut rien tendre les doigts pliés

Quand on ouvre nos mains
Suffit de rien dix fois rien
Suffit d'une ou deux secondes
A peine un geste, un autre monde
Quand on ouvre nos mains
Quand on ouvre nos mains

J'AIME LES GENOUX

Yves Lecoq :
Eh bien ma chère Lââm, sans transition
Permettez-moi de vous demander
Quelles sont les parties du corps
Que vous préférez ches l'homme
Par exemple, peut-être, on va partir du haut
Les cheveux sans doute... ?

Lââm :
Pas du tout

Y.L. : Bon ça m'arrange j'en ai plus beaucoup
Alors heu... Les yeux ?

L : Non

Y.L. : Pourtant j'en ai deux.

L : Beaucoup plus bas !
Y.L. : Le nez alors ?

L : Comment ?

Y.L. : Le nez, ça vous va ?

L : Non, beaucoup plus bas.

Y.L. : Bon on arrive euh... à la bouche, alors ?

L : Non, beaucoup beaucoup plus bas !

Y.L. : Vous savez, moi je n'ai le droit de monter pas plus haut que mon nombril, hein, alors...

L : Non, c'ets rond, c'est mignon...

Y.L. : Ah bon, heu... On va peut-être, sans transition
Demander à Lââm ce qu'elle en pense !
Dites-nous tout !

J'en ai connu
Des gars des filles
Dix fois plus beau que ça
J'en ai connu
Avec des corps parfaits
Qui ne m'ont jamais fait l'effet
Que ça me fais, me fais, me fais, me aïe
Dès que tu t'a**ieds, chuis fait

Et j'aime, j'aime, j'aime
Aïe j'aime tes genoux,
J'adore les genoux
Oh j'aime, j'aime, j'aime, j'aime, j'aime, j'aime, j'aime
J'aime tes genoux
Le reste je m'en fous
(x2)

UN PIED DEVANT L'AUTRE

Y'a toujours une route
Au bout de l'horizon
Y'a toujours un doute
Derrière nos raisons

Je mets un pied devant l'autre (devant l'autre)
Sans penser à demain (à demain)
Je mets un pied devant l'autre (devant l'autre)
Sans regarder plus loin
(x2)

LE GEANT DE PAPIER

Demandez-moi de combattre le diable
D'aller défier les dragons du néant
De vous construire des tours, des cathédrales
Sur des sables mouvants
Demandez-moi de briser les montagnes
D'aller plonger dans la gueule des volcans
Tout me paraît réalisable, et pourtant...

Quand je la regarde, moi l'homme loup au coeur d'acier
Devant son corps de femme, je suis un géant de papier
Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller
De toute ma tendresse, je suis un géant de papier
(x2)
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